lundi 25 juin 2018

Un premier colloque du CERAS 64 très réussi

Quand le CERAS 38 rencontre le CERAS 64 : Angélique Train , Edouard Zapata, Sabine Lagardère, Yveline Rey,
Joël Picart, Lucien, Céline Paris-Zapata, Anne Rochet, Caroline Lasserre (de g à d)

Des participant-e-s venu-e-s de toute l'Aquitaine

Yveline Rey et Joël Picart font une magistrale présentation de ce qu'est l'approche systémique

Toute l'équipe du CERAS avec les collègues d'intravision 

Samedi 23 juin le premier colloque organisé par l’association CERAS 64 a fait salle comble à l’Hôtel Le Bayonne… et une vingtaine de personnes étaient sur liste d’attente. C’est dire si le sujet traité : les méthodes créatives d’entretien en consultation avec les couples, familles et en institutions intéresse les professionnels de la relation d’aide.

« Nous pensions avoir surtout des professionnels (éducateurs, psychologues, assistants sociaux…) du Pays-Basque, mais nous constatons que cette journée attire des personnes de tout le Sud-Ouest, de Jonzac à Oloron-Ste-Marie ! » confie Yveline Rey, directrice du CERAS. C’est elle qui a fondé le Centre d’Etude et de Recherche sur l’Approche Systémique en 1980 à Grenoble, avec un groupe de psychiatres, psychologues et autres soignants. Madame Rey, docteur en Psychologie, professeur émérite des Universités, a été formée à penser les souffrances d’un individu dans son système familial avec un des pères de cette approche aux Etats-Unis : Paul Wazlawick. Les livres de ce théoricien de la communication sont venus révolutionner le paradigme psychanalytique dominant à l’époque. 

Plus tard, Yveline Rey, avec le psychiatre Philippe Caillé ont écrit les premiers livres sur l’utilisation en séance de thérapie familiale de jeux et objets permettant de créer une surprise et contribuer au changement*. Installée une partie de l’année au Pays-Basque, dont sa famille est originaire, Yveline Rey a regroupé autour d’elle des thérapeutes familiaux travaillant notamment à Pau, à Hendaye ou encore Biarritz, qui ont lancé en 2017 l’antenne 64 du CERAS.

Céline Paris-Zapata, responsable de l’antenne, explique « Nous aimerions permettre au plus grand nombre de professionnels d’accéder à l’approche systémique et aux outils qui ont fait leur preuve. Cette approche permet de ne pas stigmatiser celui qui souffre ou qui porte le symptôme (un enfant par exemple), mais de remettre ce problème en jeu au sein du contexte familial. C’est très utile dans le domaine de la protection de l’enfance par exemple ». 

Au programme de ce samedi 23 juin : le panier à problèmes du couple, le jeu de l’Oie systémique utilisé dans le travail d’analyse des pratiques des équipes en institution, ou bien encore « Raconte moi ta famille avec les boutons de couture ». Cette dernière méthode originale a été développée par Sabine Lagardère, thérapeute familiale, dont la grand-mère était modiste ! Une histoire de famille en somme.

Pour celles et ceux qui auront pu participer à ce premier colloque, comme pour les autres, les possibilités d’information et de formation, ne s’arrêteront pas là, car l’équipe du CERAS 64 concocte à la Maison des Associations de Bayonne toute une série d’activités pour 2018/19 : groupe de lecture, analyse systémique des pratiques professionnelles et formations. 

L’oie systémique du Pays-Basque a bien pris son envol !

Contact : Céline Paris-Zapata
ceras64@outlook.com
Tél : 06 23 20 05 36


  • « Les objets flottants : méthodes d’entretien systémique » Paris - Editions Fabert 2004

lundi 5 mars 2018

Colloque du CERAS 64 le samedi 23 juin, inscrivez vous !


Une situation cueillie sur le net

Une maman inquiète se confie à un réseau social. Elle partage sa situation et fini en disant "je suis preneuse de tous les conseils". De quoi s'agit-il ? Son fils de 9 ans après avoir vu une vidéo avec des poupées qui tuent des gens sur Youtube, elle précise : chez ses beaux-parents, a des importantes difficultés d'endormissement. Cela fait 4 mois que ça dure. Les parents ont cherché des solutions auprès du médecin traitant, d'une psychologue, d'un ostéopathe énergéticien, d'un magnétiseur. Mais le problème persiste. Ils l'ont mis à dormir dans la chambre de sa petite soeur, ont retiré les poupées et les peluches, et font ensemble de la méditation tous les soirs. Mais le garçon continue de se réveiller une nuit sur deux. A l'école, pas de soucis.

Les parents internautes réagissent alors, compatissent et donnent les conseils demandés : de l'homéopathie, une consultation de kinésiologie, des exercices de relaxation, des vidéos à regarder sur  les coulisses des films d'horreur (pour montrer que c'est du faux), de prier Dieu, de l'EMDR... Les propositions fourmillent.

J'ai posté moi aussi comment j'appréhenderais cette situation en tant que thérapeute familiale. "Bonjour Madame, et déjà bravo pour votre mobilisation pour votre fils. Dans une situation comme la votre, je me demanderais quelle fonction a le symptôme. "A quoi ça sert" ? "à qui ça sert ?" d'avoir un tel problème ? Est-ce que ça change quelque chose dans les relations au sein de la famille ? Est-ce que ça rapproche ? Est-ce que ça éloigne ? Est-ce que ça fait passer d'autres problématiques au second plan ? ... Et puis, qui souffre ? 
Dans un deuxième mouvement, je m'interrogerais sur l'histoire familiale. Votre fils est l'héritier des ressources de la famille de son papa et de sa maman... mais aussi des "vécus traumatiques".
Bref, une approche où l'enfant n'est pas vu seul en consultation, mais avec sa famille, toute entière mobilisée par le symptôme."

Madame m'a répondu "merci" et semble être passée aux conseils qui suivent et qui continuent d'arriver.

Si je partage ici cette situation, c'est qu'elle permet de bien illustrer l'approche de la thérapie systémique.
La question "qui souffre ?" peut paraître curieuse. N'ai je pas bien lu ? C'est le garçon qui souffre ! Pas si sûr. Le garçon porte le symptôme (il ne dort pas bien). Mais n'est-ce pas la mère qui souffre de voir son fils mal dormir ? ou le couple conjugal de ne plus avoir une nuit sereine ? ou le père parce que c'est arrivé chez ses parents ? ou la petite soeur de ne plus avoir ses doudous ?
Les hypothèses sont nombreuses.
Qui allègue la demande ? Ce n'est pas l'enfant. Madame précise dans son exposé : "mon fils ne veut rien dire à la psychologue, il veut juste retrouver le sommeil". C'est la mère qui demande de l'aide à l'extérieur. Aux soignants référents ... comme "à la terre entière". Ce n'est pas anodin de faire cet appel collectif, qu'est ce que ça dit de cette maman ? de son ressenti face au problème ? de cette famille ? Bref, en tout cas, c'est le psychiatre Robert Neuburger qui a bien résumé cela : s'il y a des réponses différentes aux trois questions (qui porte le symptôme ? qui souffre ? qui allègue la demande ?) c'est probablement qu'une approche familiale est indiquée. 

Je ne peux pas m'empêcher de me poser la question : quelles sont les bonnes raisons pour que ça ne change pas ? Si le symptôme (les nuits agitées) constitue une solution et non pas un problème, le pauvre garçon n'a pas d'autres choix que de continuer à se "sacrifier" pour la famille en ne dormant pas. 

Souhaitons à ces parents de trouver la meilleure voie possible pour l'apaisement de leur enfant, qu'il puisse retourner à sa vie d'enfant, tournée vers le jeu et les apprentissages, et pour lesquels il faut bien dormir ! Peut-être que la suite sera aussi racontée sur la toile.

Un pont entre un avant et un après... mais pas encore achevé

lundi 22 janvier 2018

Le saviez-vous ?

Certain-e-s nomment les consultants les patient-e-s, parce qu'ils viennent pour un soin, d'autres les client-e-s car ils sont libres de choisir leur thérapeute, de venir ou de partir.... j'avoue que j'ai du mal à trancher. Je souscris totalement à l'idée que le consultant est acteur, et donc client. Mais ce terme est associé au commerce, et peut avoir une connotation négative. En tout cas, pour que les gens trouvent mon cabinet il faut que je sois dans les Pages Jaunes.

Les Pages Jaunes... Avez-vous déjà constaté que certains praticiens ont juste leur nom et activité, alors que d'autres présentent dans de larges encarts leurs activités ? Naïvement (très !) j'imaginais que certains avaient pris le temps de se présenter... que peut-être le professionnel qui décrivait soigneusement son coeur de métier était plus compétent qu'un autre... Que nenni ! Il s'agit simplement d'un achat d'espace, comme dans la publicité. Plus tu payes par mois, plus tu as de place pour te présenter. Plus tu investis chaque mois, plus tu peux figurer sur des secteurs géographiques larges (c'est le cas pour tous les métiers répertoriés bien sûr). Ce n'est pas un annuaire, c'est un business (D'une trentaine d'euros par mois pour figurer au répertoire, à plus d'une centaine pour occuper sérieusement l'espace).

Vous le saviez ? Pas moi. Pour la qualité des prestations, et le sérieux du professionnel il vaut donc mieux compter sur le bouche à oreille, sa propre expérience, et les publications de la personne (comme son blog par exemple ;-) ).



Pour informations : les consultations en 2018 restent au même tarif : 45 euros en individuel et 50 euros en couple ou famille. Elles se tiennent dans mon lieu ou chez vous.

mercredi 22 novembre 2017

Une perte pesante

Avec l'autorisation de la famille, je vais faire le récit ici d'un accompagnement thérapeutique qui a soulagé rapidement le jeune patient, et lui a permis de réinvestir pleinement sa vie. Les noms sont bien sûr transformés afin de conserver la confidentialité nécessaire.

Madame M m'appelle pour son fils Joseph de 11 ans. Elle s'inquiète car il a perdu sa joie de vivre, et elle perçoit qu' "il ne va pas bien". Cette maman est consciente de l'intérêt que peut apporter une aide psychologique, et me propose d'amener son fils en consultation. Je lui explique que dans un premier temps nous allons nous voir tous les trois. En effet d'une part Joseph est jeune, et il peut lui être difficile de se retrouver seul face à un adulte qu'il ne connait pas. D'autre part, je ne sais pas encore si le symptôme (le mal être du garçon) est né d'un problème personnel (auquel cas il pourrait être intéressant de le voir seul), ou d'un problème relationnel avec sa mère ou dans la famille. 

Je découvre donc bientôt un jeune garçon et sa maman. Joseph, réconforté par la présence sécurisante de sa mère, est très présent dans la séance et répond volontiers à mes questions. Il sait parler de son sentiment de tristesse, et situe l'origine de cette difficulté au départ du compagnon de sa mère. Il m'explique ainsi que ses parents ont divorcé, qu'il a vécu avec ce nouveau compagnon à la maison pendant plusieurs années. Puis, Madame M. et ce Monsieur se sont séparés. Son "beau-père" est parti sans lui dire aurevoir, quand il était en vacances chez son père. L'évocation de ses souvenirs font monter l'émotion, et les pleurs. Madame me paraît attentive aux émotions de son fils, elle exprime aussi des sentiments en adéquation avec le récit, et semble avoir fait pour sa part le deuil de sa relation amoureuse et de la rudesse de ce départ.

Je ressens de l'empathie pour ce sentiment d'abandon exprimé par Joseph et je comprends que cela soit très difficile lui. Néanmoins, Joseph a déjà pu en parler avec sa maman, et échanger avec elle sur ses ressentis. Mais la tristesse ne part pas. La résilience ne se fait pas. Mon expérience de thérapeute, et mon intuition m'amènent alors à questionner l'histoire de la famille. Cette perte est difficile, mais s'il ne s'agissait que de l'éprouvé de cette disparition, Joseph, avec la bonne communication avec sa mère, basée sur un possible échange émotionnel, pourrait la dépasser, en faire le deuil. S'il ne le peut pas, c'est probablement que ça se joue ailleurs. "Aux autres étages de la fusée" comme disait un de mes formateurs, thérapeute italien. La famille est une fusée à étages, et je n'ai en face de moi qu'un seul de ces étages, or il est temps d'évoquer les générations passées.

J'invite alors Joseph à co-construire avec moi le génogramme de la famille de sa maman. C'est un dessin qui représente la famille. Joseph montre de l'intérêt pour l'activité, et j'observe qu'il est content d'être debout et actif devant mon tableau.

En donnant cette place à Joseph, je lui signifie que je le reconnais comme sujet et comme acteur de sa propre vie, et que la solution n'est pas "entre mes mains", mais entre les siennes, et celles de la famille. Dans notre jargon, je me mets en "position basse", c'est à dire je ne suis pas celle qui sait (position haute) face à la famille qui ne sait pas. 

Avec le récit de Madame, nous allons découvrir que le père de celle-ci a perdu précocement son épouse (Madame avait quelques années à peine). Il ne s'est jamais remis de cette perte. Il a ainsi continué à rechercher dans la vie la trace de la défunte, en épousant notamment successivement des femmes lui ressemblant physiquement( qu'il quittait, pour une nouvelle relation). Le grand-père de Joseph est décédé il y a peu, et l'évocation de ce décès fait pleurer encore Joseph. Mais pour Madame M. il y a une consolation : celle de se dire qu'il a enfin rejoint sa femme chérie. 

Je comprends alors que la difficulté à accepter la perte du beau-père, et que ce "non adieu" vient en résonance chez Joseph de l'histoire passée de son grand-père. La famille lui a légué de nombreuses ressources (celle notamment d'être Joseph le bâtisseur !) et lui a transmis aussi ce deuil non fait, cette perte pesante. Je nomme cela à Joseph, comparant son héritage familial à un sac à dos, où il y aurait plein de bonnes choses pour la route, mais aussi des choses un peu lourdes et encombrantes. 

Dans le passé du grand-père et de la grand-mère il y a encore d'autres traces de pertes difficiles, et probablement non élaborées, non dépassées. Nous les évoquons rapidement. 




La suite de l'entretien consiste à un échange thérapeutique avec Joseph sur ce sentiment douloureux de perte, sur la question du sens de la  vie (où l'on vit mais où l'on meurt aussi) et sur la nécessaire adaptation à cela pour pouvoir profiter du mieux possible du moment présent. Joseph accède à la conscience qu'une part de son fardeau ne lui appartenait pas et que son rôle aujourd'hui est de vivre pleinement, même s'il n'est pas possible de garder autour de soi tous les êtres chéris vivants. 

Madame M. me témoignera qu'à l'issue de cet entretien Joseph avait retrouvé sa joie de vivre et son entrain. Nous nous sommes revus une fois pour clore le travail entrepris. Joseph était dans une énergie très différente, joyeux, et pétillant. Nous avons abordé brièvement la famille d'origine de son père, sur laquelle peu d'informations sont connues. Je transmets alors à Joseph que c'est un continent à explorer, peut-être un jour, avec son père, en fonction des besoins ressentis.

Nous avons terminé la séance avec la co-construction entre la mère et le fils d'un blason familial, qui permet de nommer les ressources de la famille, passées et présentes, et d'envisager avec plus de sérénité de se mettre en chemin pour le futur.


La méthode du blason est décrite dans ce livre

Vous accompagner en utilisant le média de la vidéo




En tant que professionnelle de l'accompagnement, je suis toujours à la recherche de nouvelles approches pour mieux aider mes patient(e)s. 

Depuis un an je me forme donc à l'approche Marte Meo, du latin "par ses propres forces". Il s'agit d'un coaching interactif avec la vidéo pour enfants, jeunes, parents et professionnels du domaine éducatif, psychosocial et médical. Une hollandaise Maria Aarts a inventé cette méthode à la fin des années 70. Aujourd'hui plus de 40 pays l'utilisent : en Norvège, en Allemagne, en Australie ... mais en France cela démarre seulement.

Nous avons la chance de pouvoir compter avec la présence régulière dans le sud-ouest de Virginie Puschmann, psychologue, thérapeute familiale et formatrice, qui réside et travaille en Allemagne, mais qui donne des conférences et des formations un peu partout dans le monde (ou presque) ! Ainsi un petit groupe de professionnels régionaux a pu se former. C'est une belle nouvelle aventure qui commence, et je suis contente d'ajouter cette nouvelle corde à mon arc thérapeutique. 

Virginie montre les temps forts de la vidéo


Marte Meo permet de développer des compétences sur le plan relationnel, émotionnel et social. Ces compétences sont indispensables pour le vivre ensemble. Ce qui me plaît dans cette approche c'est qu'elle s'appuie sur les ressources des personnes. On se centre sur ce que l'enfant, le parent, ou le professionnel sait déjà faire ! et à partir de là on développe un potentiel. 

Le potentiel des personnes en face de nous, en tant que thérapeutes, nous le voyons toujours. Le problème (et c'est souvent la raison pour laquelle la personne vient consulter), c'est qu'elle même n'a pas conscience de ses propres ressources. Nous utilisons donc ici le pouvoir des images : en s'observant, dans la vidéo, la personne verra de ses propres yeux ce qu'elle fait de bien. A partir de là, avec la guidance de la thérapeute, la personne pourra renforcer et développer les bonnes pratiques, acquérir un sentiment de confiance qui lui donnera de la motivation pour continuer à travailler. Marte Meo permet ainsi d'instaurer un climat propice au développement et au changement.

"Je voudrais que ça se passe mieux", "j'aimerais que nos relations changent"... oui, mais, le changement est difficile. La vidéo fournit un appui qui confirme et encourage le processus de changement. 

Marte Meo est utile partout où il s'agit de d'accompagner, d'activer ou de débloquer les processus de développement et d'apprentissage. Il peut s'agir des besoins d'apprentissage d'un enfant, de la guidance avec une personne âgée en perte d'autonomie, de la nécessité d'apporter du changement dans une relation de couple ...

Concrètement, comment ça se passe ?

Une prise de contact au cabinet pour analyser ensemble votre demande. Puis, la réalisation de vidéos au cabinet ou chez vous. Vous me confiez ces vidéos et je travaille dessus, ensuite nous nous voyons en séance pour analyser ensemble les interactions. La démarche Marte Meo vient en complément d'un travail thérapeutique.

Les vidéos peuvent être faites avec un smart phone, une tablette, un appareil photo... Les solutions techniques ne manquent pas !

Filmer les interactions dans la famille

jeudi 16 février 2017

Les nouveautés de 2017

Une nouvelle collègue au cabinet :

Marion Gaubert, ma collègue psychologue et thérapeute EMDR va vivre une année en Nouvelle Zélande en 2017 pour s'intéresser aux usages de la thérapie EMDR là-bas et découvrir ce grand pays. Audrey Larcebau, également psychologue clinicienne et thérapeute EMDR a pris le relais pour cette année, il n'y a donc pas de rupture dans les prises en charge. Le téléphone pour la prise de rendez-vous est la même.



Et un nouveau lieu de consultation :

Pour compléter mes consultations à Saint-Martin-de-Hinx, je vais commencer à recevoir des personnes à Capbreton. Au moment de la prise de rendez-vous, nous verrons ensemble ce qui est le plus adapté pour vous : la côte ou l'intérieur.